L'e-commerce ne connaît-il pas la crise ?
Certes, la crise pèse sur le pouvoir d'achat et désormais également sur les indicateurs du e-commerce. Mais Une étude du cabinet Forrester projette qu'en 2014, le nombre d'acheteurs en ligne en France devrait être de 30 millions (35 % des adultes) contre 22 millions prévus pour l’année 2009, et que la dépense moyenne devrait passer de 781 euros à 932 euros par an.
L'habillement, qui occupe de loin la première place, est suivi des livres, de la musique et des voyages, alors que l'informatique était la championne il n'y a que quelques années. La répartition des achats devient en fait identique à celle de l'ensemble du commerce : on achètera bientôt en ligne comme on le fesait en magasin.
Globalement, le chiffre d’affaires total de l’e-commerce passerait de 14,7 milliards en 2008 à 27,9 milliards d’euros en 2014. Des chiffres passablement différents de ceux de la FEVAD qui annonçait, en janvier 2008, 20 milliards en 2008 et prévoyait 30,9 milliard dés 2010 ! Quoi qu'il en soit, tous les analystes voient en internet la seule lueur d'espoir du commerce ...
On se doutait bien que la sortie de crise se ferait surtout par les nouvelles pratiques, et en particulier le e-commerce, qui permet des économies pour le commerçant, mais surtout pour le client (par le biais des comparateurs, des sites de discount et la réduction des intermédiaires). Une raison de plus pour se lancer...
L'habillement, qui occupe de loin la première place, est suivi des livres, de la musique et des voyages, alors que l'informatique était la championne il n'y a que quelques années. La répartition des achats devient en fait identique à celle de l'ensemble du commerce : on achètera bientôt en ligne comme on le fesait en magasin.
Globalement, le chiffre d’affaires total de l’e-commerce passerait de 14,7 milliards en 2008 à 27,9 milliards d’euros en 2014. Des chiffres passablement différents de ceux de la FEVAD qui annonçait, en janvier 2008, 20 milliards en 2008 et prévoyait 30,9 milliard dés 2010 ! Quoi qu'il en soit, tous les analystes voient en internet la seule lueur d'espoir du commerce ...
On se doutait bien que la sortie de crise se ferait surtout par les nouvelles pratiques, et en particulier le e-commerce, qui permet des économies pour le commerçant, mais surtout pour le client (par le biais des comparateurs, des sites de discount et la réduction des intermédiaires). Une raison de plus pour se lancer...